La Commune Urbaine d’Antananarivo procède depuis quelques jours au recensement des taxis-ville. Les propriétaires de ces derniers doivent ainsi faire une déclaration au centre de contre-visite à Antsakaviro où 500 taxis ont été contrôlés durant un mois.
Sur 10 taxis soumis au contrôle technique au Centre de contre-visite technique à Antsakaviro, trois sont des taxis clandestins c’est-à-dire qu’ils ne disposent pas des papiers requis pour exercer le métier de transporteurs. En outre, certains taxis sont confrontés à des soucis techniques ou mécaniques. Ainsi, la Commune leur a accordé un délai pour effectuer les réparations.
Si les chauffeurs de taxis ont demandé à ce que les policiers municipaux stoppent les contrôles des papiers et des véhicules sur les routes, la Commune Urbaine d’Antananarivo ne l’entend pas de cette oreille. Ces contrôles vont même être renforcés, selon l’adjoint au maire. Le nombre exact de taxis et de taxis-be qui circulent dans la capitale sera connu en septembre prochain.