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Les taxis clandestins pullulent. En quelques années seulement, le nombre de taxis-ville qui exercent dans la capitale a plus que doublé. La suspension de la délivrance de nouvelle licence et de lanternes par la Commune Urbaine d’Antananarivo est en partie à l’origine de cette situation. Mais l’absence de contrôle est surtout pointée du doigt. Les taxis-ville réguliers tirent la sonnette d’alarme.

4000 taxis sont recensés dans la capitale, d’après les informations recueillies auprès du centre de visite technique. Mais une source auprès de la Commune Urbaine d’Antananarivo prétend que 8000 taxis exercent à Antananarivo et parmi eux des milliers sont en situation irrégulière. Cette activité est donc saturée. Les taxis doivent payer 122.400 Ar d’impôt synthétique par an et 7020 ariary de Droit de stationnement tous les quatre mois. Face au pullulement des taxis clandestins , l’association des taxis ville d’Antananarivo tirent la sonnette d’alarme.

«On ne sait pas exactement combien de taxis sont en exercice actuellement. Le dernier recensement date de 2004. Depuis 2004 jusqu’à aujourd’hui la Commune Urbaine d’Antananarivo n’a effectué aucun renouvellement de licence », se plaint cette association.

Les propriétaires de taxis exigent que la CUA prenne des mesures strictes pour freiner les activités des taxis clandestins.

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