Coup d’envoi du 16ème sommet de la francophonie hier. La réunion du Conseil Permanent de la Francophonie a ouvert le bal. Une réunion durant laquelle le Représentant Permanent de l’OIF pour l’Océan Indien a affirmé que ce sommet offre plusieurs avantages pour Madagascar et signe le retour définitif de la Grande Ile sur la scène internationale.
Le XVIème sommet de la Francophonie aura de nombreuses retombées pour Madagascar, a fait valoir le représentant permanent de l’OIF pour l’Océan Indien Malik Sarr.
En raison de multiples problèmes techniques, les journalistes locaux et étrangers qui assurent la couverture du sommet de la francophonie n’ont pas pu faire correctement leur travail. Ils ont notamment eu des difficultés à transmettre ou à publier les informations qu’ils ont recueillies au CCI Ivato où se tient la réunion du Conseil Permanent de la Francophonie.
Apparemment les responsables n’ont pas préparé à temps les locaux destinés aux journalistes. De tels incidents ternissent pourtant l’image des organisateurs.
La pause francophonie a été respectée par la majorité des écoles de la capitale. Les écoles publiques et privées ont vaqué depuis hier, comme le cas du lycée moderne Ampefiloha. Certains lycées privés ont profité de cette pause pour former leurs enseignants. Au CEG Antanimbarinandriana, les responsables ont décidé d’effectuer la réparation des bâtiments scolaires. Outre Antananarivo, les établissements scolaires à travers l’île ont presque tous fermé leurs portes depuis lundi.
En marge de la cérémonie de réception officielle des équipements médicaux d’une valeur de 162.000 dollars offerts par le Gouvernement québécois, le ministre de la Santé, le Pr Mamy Lalatiana Andriamanarivo, a expliqué qu’ un renforcement du service de garde a été décidé pour l’hôpital à Andohatapenaka étant donné que la capitale accueille des milliers de participants au sommet de la Francophonie.