dimanche 05 mai 2024
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Archives mensuelles: octobre 2017

Fokontany Alarobia Amboniloha : nitroatra nandà ny handraisana ireo mararin’ny pesta

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Nitokona nandà ny fepetra noraisin'ny minisiteran'ny fahasalamana amin'ny handraisana ireo ahiana ho voan'ny valan'aretina pesta ao amin'ny biraom-pokontany sy ny "dispensaire" eny amin'ny fokontany Alarobia Amboniloha ireo mponina eny ny alarobia alina teo.

Collectif Tany : Mitaky ny fampitsaharana ny fitrandrahana ataon’ny DNI metal

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Miantso ny olompirenena hanangon-tsonia, hampitsaharana ny fitrandrahana ataon'ny orinasa DNI metals ao Ambatolampy-Brickaville ny collectif tany. Toherin'izy ireo ihany koa ny ramatahora atao main'ny mponina any an-toerana. Miantso ny firaisankinan'ny mpiaro ny tany sy ny tontolo iainana ihanby koa izy ireo tao anatin'ny fanambarana navoakany omaly.

Commission consultative : nanao tatitra tamin’ireo mpiara-miombon’antoka

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Omaly maraina no notontosaina teny amin'ny foibe toeran'ny CENI eny Alarobia ny tatitry ny asa nataon'ilay "commission consultative" nanolotra soso-kevitra ho fanatsarana ny lalàna mifehy ny fifidianana tamin'ireo mpiara-miombon'antoka aminy, toy ny firaisamonim-pirenena, antoko politika ary olompirenena.
Mauvaise foi de l’exécutif et de la CENI

Calendrier électoral

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L’exécutif n’a pas encore répondu à la demande de la CENI de publier le calendrier électoral. Selon les explications reçues, cet organe en charge des élections n’attend que la publication de ce calendrier pour pouvoir entrer dans les préparatifs. Par ailleurs, la représentante des Nations Unies s’est rendue auprès de la CENI afin de faire une évaluation de l’avancée des préparatifs des élections à venir. Cela fait un mois que la CENI a demandé à l’exécutif la publication du calendrier électoral. D’après les explications son président Hery RAKOTOMANANA, l’exécutif n’a donné aucune suite à leur demande jusqu’à ce jour. Or, les préparatifs dépendent de la publication de ce calendrier.  Nous avons envoyé notre demande et nous attendons la réponse. Nous n’avons pas le pouvoir d’établir le calendrier électoral. Nous avons envoyé une proposition, il appartient aux décideurs de prendre la décision y afférente. Mais le constat est que c’est la CENI qui organise les élections. N’est-il pas normal qu’il lui revienne de fixer le calendrier électoral ? a-t-il fait valoir. Quoi qu’il en soit, la CENI poursuit ses préparatifs. D’où la venue de la représentante des Nations Unies à Madagascar qui a fait une évaluation de l’avancée des préparatifs des élections à venir. Nous avons demandé aux Nations Unies une assistance pour le processus électoral. La représentante du secrétaire général des Nations Unies est ici pour faire une évaluation de l’avancée des préparatifs. Elle se penche non seulement sur la CENI mais également sur tout ce qui tourne autour des élections pour constater de visu l’avancée du processus électoral. Les Nations Unies font un suivi et donne son appui au processus en cours, a encore ajouté le Président du CENI. Jeudi prochain, les Nations Unies publieront les résultats de cette évaluation. Pour rappel, la CENI a besoin de 363 jours pour pouvoir préparer dans les règles les élections de 2018.

Fitokonan’ny SMM-SGM: Tsy vahaolana ny fampiasana herisetra

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Fisehoana ivelany ihany no entin'ny Fitondrana hanehoana fa voafehy ny fitokonan'ny SMM sy SGM izay niatomboka ny alakamisy lasa teo. Nogiazana tanteraka ny vavahadin'ny Lapan'ny fitsarana ary tsy voaaro tanteraka ity toerana manana ny hasiny ity raha ny fanehoan-kevitrin'ny filohan'ny SMM omaly.

Recours à la force

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La grève générale entamée récemment par les membres du syndicat des magistrats de Madagascar (SMM) et les membres du syndicat des greffiers de Madagascar remet de nouveau sur le tapis la défaillance du pouvoir actuel à maitriser les affaires nationales. Au lieu de trouver une solution rapide au litige qui oppose les deux camps, le régime n’a trouvé rien de mieux que le recours à la force. C’est peu de dire que le torchon brûle actuellement entre les membres du SMM et les membres du SGM d’un côté et le pouvoir en place de l’autre. En effet, le dialogue civilisé a presque tourné en une confrontation musclée la semaine écoulée lorsque les éléments des forces de l’ordre sont intervenus pour ouvrir les portails du Palais de Justice Anosy, sur réquisition du Procureur. Le ton est donné. Désormais, le SMM ne veut plus discuter mais exige des réponses immédiates à ses revendications. Quelques paroles inconsidérées, des gestes mal placés suffisent pour tout embraser et la tension est à son paroxysme. Les usagers de ce service public de même que le reste de la population regardent impuissant ce bras de fer qui continue à leur profond détriment. En effet, on peut avancer tous les arguments que l’on veut, il reste que c’est la population, notamment les justiciables qui ont actuellement des affaires en cours qui souffrent le plus de cette situation. On pense tout particulièrement à ceux qui font plusieurs kilomètres pour venir en ville en quête de justice, ou encore ceux qui attendent leur ordonnance de libération des mains des juges en grève. On ne peut aussi que se demander pourquoi les responsables étatiques tardent autant à trouver une solution pérenne à ce genre de situation qui continue à se dégrader et qui ajoute à la détresse déjà immense du plus grand nombre. Effectivement, les conséquences des tensions existant entre les magistrats et l’Etat ne font qu’empirer la situation d’insécurité, à tous les niveaux, dans laquelle la population est empêtrée. S’ajoutent à cela la peste et autres problèmes auxquels l’Etat peine à trouver un dénouement et qui culminent actuellement au seuil de l’intolérable.